Horror stories

Top 7 des histoires d’horreur, à raconter au coin du feu pour faire flipper

Il y aura toujours quelqu’un pour vous raconter comment des seringues au sida ont été retrouvées dans son ciné, ou pourquoi des mygales sont planquées dans le tronc de votre ficus. Mais quand il s’agit des légendes urbaines qui font VRAIMENT flipper, là, il y a moins de monde. Les histoires que vous allez lire ici sont peut-être fausses, peut-être pas, et vous ont été racontées par un copain parce que c’est arrivé à la copine de sa cousine (source sûre donc). Ce qui est sûr, c’est que vous pourrez sans problème les raconter autour d’un feu ou à la lumière d’une lampe torche pour faire flipper vos amis, et vous aussi, un peu.


1. "Les humains aussi peuvent lécher"

Farmersburg, Indiana, 1987 : Lisa est souvent seule dans sa grande maison isolée au cœur des champs de maïs. Ses parents rentrent tard tous les soirs et ont donc décidé de lui acheter un chien, pour la rassurer. Une nuit, elle est réveillée par un bruit d’eau qui goutte. Elle se lève et va fermer le robinet de la salle-de-bain. En se recouchant elle glisse sa main sous son lit et son chien la lui lèche. Cela la rassure.Le bruit continue et elle décide d’aller resserrer le robinet dans la salle de bain. Elle se recouche et glisse de nouveau sa main sous son lit, et son chien la lèche de nouveau. Mais le bruit continue et Lisa n’arrive pas à dormir. Elle fait un dernier tour de la maison sans rien trouver, et se recouche donc en glissant sa main sous le lit. Le chien la lèche de nouveau.

Le bruit est toujours là et Lisa décide de localiser sa provenance : le son vient de son placard. En l’ouvrant elle découvre son chien égorgé, suspendu par les pattes arrières, se vidant lentement de son sang. Sur la porte du placard un message écrit en lettre de sang : « LES HUMAINS AUSSI PEUVENT LÉCHER »

2. "Le tueur dans le siège arrière"

Lyon, France, 1994 : Nathalie termine son service d’infirmière, il est 5h du matin. Elle monte dans sa voiture et s’engage dans les rues encore désertes. Très vite, elle remarque qu’une voiture la suit de près. Au moment de la dépasser, la voiture se rabat violemment derrière Nathalie et commence à lui faire des appels de phares. La jeune infirmière accélère, anxieuse, tout en essayant d’apercevoir le conducteur du véhicule dans son rétroviseur. Les appels de phares continuent, frénétiques. Elle tourne à droite, puis à gauche : la voiture la suit. Nathalie commence à paniquer, que lui veut donc cette personne ? Elle arrive dans l’allée menant à sa maison. Son seul espoir, tenter le tout pour le tout et courir s’enfermer chez elle pour appeler la police.

Au moment où elle descend de la voiture, elle entend son poursuivant descendre à son tour et hurler « ENFERMEZ-VOUS ET APPELEZ LA POLICE VITE ! »

N’osant pas se retourner, elle s’enferme chez elle et appelle les gendarmes. Elle jette un œil par la fenêtre pour apercevoir une grande silhouette armée d’un couteau de boucher, attaquant sauvagement l’homme qui la suivait. Terrifiée, Nathalie se réfugie dans sa salle de bain, priant pour que les secours arrivent au plus vite.

Ce n’est que plus tard qu’elle comprendra ce qui s’est réellement déroulé ce jour là : l’homme dans la voiture essayait de la sauver. Il avait vu un homme se glisser dans la voiture de Nathalie et essayait de la prévenir. Il l’a payé de sa vie.

3. "La baby-sitter et le tueur à l'étage"

Windermere, Royaume-Uni, 1982 : Helen a 16 ans et se rend à un baby-sitting. Elle doit ce soir garder les 3 enfants d’un jeune couple, absent pour la soirée. Quand elle arrive, ils l’informent que les enfants sont déjà couchés et qu’ils ne rentreront pas tard. Helen s’installe dans le canapé de la grande demeure et ouvre un livre. Le téléphone sonne mais quand elle décroche, personne ne parle à l’autre bout de la ligne. Quelques minutes après, le téléphone sonne de nouveau, et cette fois une voix glaçante lui répond : « Es-tu allée voir les enfants ? » puis plus rien.

Pensant qu’il s’agissait du père qui l’appelait pour savoir si tout se passait bien, elle se dit qu’il a été coupé et qu’il va rappeler. En effet, quelques minutes après le téléphone retentit : « Es-tu allée voir les enfants ? » répète la voix. « Monsieur Stuart ? » demande-t-elle, inquiète, mais personne ne répond.

Elle décide d’appeler le restaurant où dînent ses employeurs mais on l’informe qu’ils en sont partis depuis 10 minutes. Elle contacte ensuite la police mais ces derniers lui affirment ne rien pouvoir faire contre les canulars téléphoniques. A peine a-t-elle raccroché que de nouveau l’inconnu l’appelle : « Pourquoi n’es-tu pas allée voir les enfants ? »

Effrayée, elle contacte de nouveau la police, leur assurant que cet inconnu est là, tout près, qu’elle le sent. L’agent à l’autre bout de la ligne décide de prendre son numéro et la rassure : « La prochaine fois qu’il vous appelle, nous tracerons l’origine du coup de fil, d’accord Helen ? Restez calme surtout. »

Helen éteint le salon et s’enferme dans la cuisine, le téléphone près d’elle. Il sonne et cette fois elle décroche tout de suite – « Qu’est-ce que vous me voulez à la fin ? »– « Pourquoi as-tu éteint les lumières ? »– « Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous me voulez ? »– « Je te vois tu sais. »– « Ok, très bien, vous m’avez fait peur, c’est réussi. Vous êtes content, c’est que vous vouliez ? »– « Non. Ce que je veux, c’est me baigner dans ton sang. »

Helen raccroche brusquement, terrifiée, mais la sonnerie retentit de nouveau. « LAISSEZ-MOI » hurle-t-elle dans le combiné.– « Helen, c’est moi, nous avons tracé l’appel, il faut que tu sortes tout de suite. L’appel vient d’une des pièces de la maison. Sors immédiatement ! »

Elle se rue vers la porte, et commence à la déverrouiller en tremblant. Elle panique, fait tomber la clé, la ramasse, puis se relève. Elle entend un bruit dans son dos et voit alors une porte s’ouvrir en haut des escaliers. Un halo de lumière sort de la chambre des enfants et elle distingue très nettement la silhouette d’un homme debout, tourné vers elle.

Elle parvient finalement à ouvrir la porte et se jette dehors, tombant nez à nez avec plusieurs policiers sur le palier, arme à la main. Immédiatement prise en charge par les secours, elle a juste le temps de se retourner et d’apercevoir le tueur fou, menotté par les policiers. L’homme est recouvert de sang. Celui des 3 enfants de la famille Stuart.

4. "Bloody Mary"

Cette histoire est arrivée à la sœur d’un ami d’un des rédacteurs de Topito qui a préféré rester anonyme. Nous sommes en 1997, la fillette de 9 ans, que nous nommerons Anna, organise une soirée « pyjama » avec quelques amies. L’une d’elle leur raconte alors l’histoire d’une certaines Mary Worth, une magnifique jeune fille qui aurait vécue il y a de très nombreuses années. Suite à un très grave accident, Mary s’est retrouvée horriblement défigurée. Sachant à quel point cela la rendrait folle de voir son beau visage abîmé, ses parents l’interdirent de voir son reflet. Ils jetèrent tous les miroirs de la demeure sauf un, celui de leur salle-de-bain personnelle. Une nuit, Mary se faufila discrètement dans la pièce. Dès qu’elle découvrit son visage, elle s’effondra. Elle voulait tellement retrouver son ancien reflet qu’elle marcha directement dans le miroir pour le retrouver, jurant de défigurer à son tour tous ceux qui viendrait chercher Bloody Mary dans sa cachette.

Après avoir entendu cette histoire, Anna et ses amies se disent que ce serait une bonne idée d’essayer, pour voir. Elles s’enferment alors dans la salle de bain et répètent devant un miroir : « Bloody Mary, Bloody Mary, Bloody Mary ». Soudain, une des amies d’Anna se met à hurler, tellement fort que la mère fait irruption dans la salle de bain. Elle allume la lumière et découvre une scène horrible : toutes les filles sont assises par terre, paniquées. Une seule reste debout, agrippée au lavabo, figée par la terreur. Le long de sa joue courent de profondes entailles sanguinolentes, de longues traces d’ongles laissées par le fantôme de Mary Worth.

Anna n’a jamais oublié cette soirée.

5. "Le crochet"

Amherst, Massachussetts, 1973 : Ce soir, Thomas D. a un rendez-vous galant, et il sait exactement où conduire Melany : derrière le bois à la sortie de la ville se trouve une clairière isolée parfaite pour une petite session de galochage. Il passe donc chercher sa dulcinée en voiture et se gare tranquillement dans la clairière, en laissant tourner l’auto-radio. Soudain, la musique s’interrompt et un communiqué urgent est diffusé à la radio : un meurtrier s’est échappé de l’asile situé à quelques kilomètre d’Amherst. Le présentateur en donne une description un peu floue mais précise toutefois que cet homme très dangereux possède un crochet au bras droit.

Effrayée, Melany demande à Thomas de la ramener chez elle. Hors de question pour l’adolescent qui compte bien montrer qu’il n’a peur de rien. Alors qu’il se penche pour l’embrasser, un craquement de branche les fait sursauter. Melany fait tout de suite comprendre à son « date » que cette fois, il est temps de rentrer. A contre-cœur, il fait marche arrière et se met en route rapidement vers le centre ville.

Arrivés devant la maison de Melany, cette dernière descend de la voiture et se met à hurler de manière incontrôlable.Thomas se précipite vers elle et découvre ce qui la met dans cet état : accroché à la poignée de la voiture, un crochet sanglant se balance doucement.

6. "La voisine"

Région parisienne, 2015 : après de longs mois à chercher un appartement, Lucien vient d’emménager dans son immeuble. Fraîchement installé, Lucien prend ses aises dans son nouveau chez lui. Une nuit, quelqu’un frappe à sa porte. Il se lève et va ouvrir. Une femme se tient là et lui demande si elle peut passer la nuit chez lui parce que son conjoint la frappe. Lucien est quelque peu surpris et dubitatif. La femme le rassure en lui disant qu’elle a appelé sa famille et qu’ils viendront la chercher demain matin à la première heure. Le jeune homme lui donne une couverture et lui propose de passer la nuit sur le sofa.

À son réveil, la couverture est pliée sur le divan et la jeune femme est partie. Il se prépare et part travailler.

Le soir suivant, on toc de nouveau à sa porte. La même femme est à sa porte, mais cette fois-ci elle est marquée de coups au visage. Elle lui demande une seconde fois l’hospitalité. Ne pouvant qu’accepter, Lucien lui propose de dormir au même endroit que la veille.

Le matin, elle n’est plus là. Le même manège se reproduit tout au long de la semaine. Inquiet, le jeune homme se rend au poste de police pour expliquer la situation. L’agent lui montre une photo sur laquelle il reconnaît la femme. La police lui apprend que cette femme a été battue à mort dans son immeuble par son conjoint et est décédée de ses blessures il y a plusieurs mois…

7. Au revoir

J’ai trouvé cette histoire de la journal intime d’un vieux voisin décédé qui vit seul depuis des années : « Je suis parti dans le rush pour récupérer mon fils à l’école. Le trafic était plutôt fluide ce jour là, rien sur ma route à part quelques feux rouges. Cela faisait pas mal de temps que j’attendais à un feu rouge quand j’ai remarqué une femme.

Je n’avais aucune idée de combien de temps elle s’était tenue debout là à me fixer, mais une fois que je ne parvenais plus à regarder ailleurs. Elle me regardait comme une folle et agitait sa main vers moi en caressant les cheveux de la tête d’un petit garçon. Son petit garçon, son fils j’imagine, portait des vêtements larges marrons et un masque noir de chèvre. C’était un costume étrange et surtout qui porte un costume un lendemain d’Halloween ?

Lui aussi agitait sa main dans ma direction et me fixait à travers ce masque troublant, mais son mouvement semblait inconfortable et forcé. Les yeux de la femme pouvaient voir à travers moi et je pouvais quasiment sentir physiquement son regard s’accrocher à moi. Elle ne clignait même pas des yeux. Je me sentais nu et très tendu. Et les yeux du garçon, mon dieu, les yeux du garçons étaient suppliants et imploraient de l’aide. La femme a commencé à devenir impatiente, agitant sa main plus fort à chaque seconde. J’ai détourné le regard.

Pour je ne sais quelle raison, j’étais terrifié. J’avais besoin de m’enfuir. Une fois le feu passé au vert, ce qui avait semblé durer une éternité, j’ai démarré. Je n’ai même pas pris la peine de regarder derrière. Je pensais que rien ne serait plus terrifiant que ce moment. Ensuite, je suis arrivé à l’école et ils m’ont dit que mon fils n’était pas là. Ils m’ont dit que ma femme l’avait déjà récupéré. Je n’ai pas de femme. Ils m’ont remis une note, en me disant qu’elle avait demandé à ce qu’ils me la donnent. Il n’y a pas de mots pour décrire ce que j’ai ressenti en la lisant. « Ne dis pas que je ne t’ai pas donné une chance de lui dire au revoir. »

Alors d’autres les légendes urbaines de l’horreur par chez vous ? Sinon, il y a le top des histoires d’horreur courtes qui est plus rapide à lire mais tout aussi efficace.

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